[Compagnie nationale du Rhône (C.N.R.) : centrale...

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localisation Bibliothèque municipale de Lyon
technique 1 photographie numérique : couleur
historique Après être devenue producteur indépendant d'électricité à l'ouverture du marché de l'énergie à la concurrence en 2001, la Compagnie nationale du Rhône (CNR) a franchi une nouvelle étape en se dotant, le 1er septembre 2005, d'un centre opérationnel de téléconduite pour piloter, directement depuis son siège de Lyon, ses dix-neuf barrages et dix-neuf centrales. Des données qui, jusque-là, transitaient par les deux postes de commande de Châteauneuf et Génissiat. Une avancée technologique aux allures de performance humaine et industrielle puisqu'elle permet aux dix agents affectés au centre de téléconduite d'observer dorénavant en temps réel l'écoulement des eaux tout en déclenchant des interventions à distance pour agir rapidement en cas d'événement exceptionnel. Source : "La CNR prend la main à distance" / Thibaut Danancher in Lyon Figaro, 2 novembre 2005, p.3-4.
historique L'Ecureuil est un rongeur économe. C'est aussi un petit animal au grand coeur, qui revendique haut et fort sa vocation d'assurer une mission d'intérêt général. Depuis sa transformation en banque coopérative, en juin 1999, la Caisse d'Epargne a renforcé cette dimension humaine en institutionnalisant son engagement en faveur de la solidarité et de la lutte contre l'exclusion. "Le principe est de soutenir des projets s!gnificatifs et pérennes, de donner la priorité aux actions locales et de favoriser l'éclosion de nouveaux projets, mais surtout pas d'accorder des subevetions de fonctionnement", souligne Hervé Vagel, le président du directoire de la Caisse d'Epargne Rhône-Alpes Lyon, dont la compétence s'étend sur le Rhône, la Loire et le Nord-Isère. Dans ce cadre, la Ceral a débloqué en 2001 une enveloppe de 1,4 million d'euros (9 millions de francs) pour financer cinquante et un projets, avec des aides allant de 1000 à 100000 euros. Source : "Les bonnes oeuvres de la Caisse d'Epargne Rhône-Alpes Lyon" / Pascal Auclair in Lyon Figaro, 11 février 2002, p.8.

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